Ces levres, ces levres que plus jamais tu ne toucheras. Ces levres que plus jamais tu n'auras droit de caresser de ta main, ces levres que tu as tant appreciées. Ces levres sont parties, a jamais. Plus jamais tu ne pourras ni meme les toucher, ni meme les voir et encore moins les sentir. Dis-leur adieu, car plus jamais tu ne pourras y deposer les tiennes.

Elles sont desormais libres. Si seulement je n'etais pas partie de cette facon, tu aurais peut etre pu encore les toucher, les embrasser ? Tu ne peux pas me blamer.

Tu n'avais qu'a venir me chercher, je t'y attendais jour et nuit, comme une princesse cachee dans la plus haute tour du plus haut chateau de la plus haute contree. Pourquoi ne l'as-tu donc point fait ? Plus de dix milles kilometres doivent nous séparer mais tu aurais pu essayer. Ne m'oublie pas, comme tu as pu le faire au paravant. N'oublie pas tous ces bons moments.

N'oublie pas mes levres.

Je n'ai pas oublié les tiennes moi.