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  • Froid. Ce jour dura toute une vie, la mienne.

    Les doux parfums de la joie lointaine oubliés.
    Le regard vide de sentiments, le sourire de meme ;

    Je n'ai qu'une envie : dans mon coin, rester pliée.

     

    Comme un arbre dans le désert, je voudrais fuir loin.

    Retrouver ces amours, ces amitiés perdues.

    Impossible. Seule, je ne peux finir que pendue.

    Je manque de sensations tel un mendiant de pain.

     

    Les yeux ne fixant que le mur de l'ennui noir,

    Je n'avais rien. Je buvais pour noyer mon ame.

    Espérant noyer avec, tout mon déséspoir.

     

    Comme ca depuis trop longtemps, je n'ai plus d'espoirs.

    A quoi bon rester ? Comme un fantome, j'ere.

    Car je suis , et je serais toujours, solitaire.

     

    ( exercice de francais )


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  • There's not much time leftJe dois faire un poeme avec pour theme la solitude ( je me demande encore une fois pourquoi j'ai pris ce theme... tout ca parce que je ne suis ni triste, ni haineuse, ni amoureuse et c'etait le seul qui me plaisait -et qui restait- ? ) . Tout ceci pour vendredi. Et je n'ai pas tout mon temps.

    J'avais des mots en tete. Hysteria. Dommage que ce soit pas un mot francais. Hysterie veut dire tout autre chose en francais et je n'aime pas sa sonorite. Ca ne fait pas tres 'lyrique'.

    Bref. Je devrais me plonger dans la solitude pour en deduire les choses que l'on en ressent.

    Mais comment ... ?

     

     

     


    La photo n'est pas prise par moi, mais c'est moi dessus... ( eh oui...u.u ) donc merci de ne pas la prendre !


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  • Cacher la peur par un sourire, les sentiments par un 'je suis fatiguée', les larmes par la pluie, la honte par le rire. Dissimuler la décéption par trois mots des plus simples possibles. Révéler la peur par la vie, les sentiments bafoués par les amours, les larmes par le soleil, la honte par le rougissement. La décéption par les amitiés.

    J'étais assise sur la terrasse d'un café qui servait jour et nuit, fixant quiconque sortirait de cette blanche batisse. Attendant sortir mon reflet. Une silhouette sortit enfin. Etait-ce moi ? Je crois que oui. Je me leva, m'approcha.

    Ce n'étais pas un sourire innocent comme on voit tout les jours, non. C'était le sourire de la peur, le sourire montrant tous les sentiments bafoués, les larmes refoulées qui ont coulées finalement et la honte. La décéption n'était pas au rendez-vous. Pourquoi étais-je sortie dans cet état la ? Je me le demandais bien... Mais qu'avais-je fais le matin, le jour d'avant et toute ma vie ... ? Comme si tout c'était envolé jusqu'a ce moment ou je me suis sentie suivie.

    Je suis suivie.

    Par moi.

    Une troisieme moi.

     

    Mais qu'ai-je fait au bon dieu pour mériter ca ?

     


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    Je me sens bien, en dehors.

     

     


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